Avec sa dernière pièce,
« Violet », la chorégraphe Meg Stuart effectue un virage réussi dans
l’abstraction. Cinq danseurs en
surrégime répètent des séquences mécaniques sur des sons électro
se déployant à l’infini. Un tic-tac sidérant aux airs de transe
contrariée, où se mêlent solitude, érotisme, tendresse et rage
libératoire.
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