Le Théâtre des Lucioles
continue d’explorer l’œuvre du passionnant auteur argentin
Rafael Spregelburd. Quatrième volet d’une heptalogie sur
les dérives morales, « l’Entêtement » en est aussi l’un des plus
sombres. Il nous invite dans la demeure d’un commissaire fasciste à
l’heure de la guerre civile espagnole. Malgré
l’originalité du point de vue et l’extraordinaire prestation de
Judith Chemla, on se perd rapidement dans les méandres d’une écriture
touffue, bavarde et dispersée.
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