Passée l’expérience exaltante du Théâtre Permanent aux Laboratoires d’Aubervilliers, on se demandait ce que deviendrait l’audacieux metteur en scène Gwenaël Morin. De retour au Théâtre de la Bastille, il se saisit d’un texte puissant de Peter Handke : « Introspection ». Une confession amère et fulgurante scandée par huit comédiens en quête de « je ».
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