Il faut aller voir « l’Éveil du printemps » au Théâtre 71. Parce que le texte de Frank Wedekind est un poison magnifique qui évoque l’adolescence et la naissance brutale du désir. Parce qu’Omar Porras en a fait une sombre féerie punk fixant les derniers égarements d’une jeunesse broyée.
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